Auteur :
Agatha Christie
Titre :
Les pendules
Genre :
roman policier
Langue
d’origine : anglais
Traducteur :
Jean-Marc Mendel
Editeur :
Le masque
Nombre de
pages : 230p
Date de
parution : février 2012
Présentation de l’éditeur :
Quand Sheila Webb, jeune secrétaire intérimaire, arrive au
19, Wilbraham Crescent, elle trouve la porte ouverte. Elle s’installe au salon
pour attendre le retour de Miss Pebmarsh qui a loué ses services pour l’après-midi.
Surprise ! Elle découvre la pièce encombrée de cinq pendules qui avancent
toutes d’une heure. Mais une surprise plus grande encore l’attend : le corps
d’un homme caché derrière le canapé. Quand Miss Pebmarsh arrive enfin, elle est
bien incapable d’expliquer quoi que ce soit… En effet Miss Pebmarsh est aveugle
! Heureusement Hercule Poirot, tout jeune retraité, a tout son temps pour venir
démêler l’écheveau de cet imbroglio.
Mon avis :
Pour le mois anglais, j'avais prévu de ne lire qu’un
roman d’Agatha Christie. Mais c’est comme les chocolats, quand on met le nez
dedans c’est addictif !
C’est une étrange affaire que doit résoudre Hercule Poirot :
le cadavre d’un inconnu, entouré de pendules, est découvert dans une maison en l’absence de sa
propriétaire aveugle par une jeune secrétaire envoyée là par un inconnu. Et ce ne
sont pas les seuls éléments étranges de l’affaire.
Si j’aime les romans d’Agatha Christie, je reconnais qu’au
niveau de l’intrigue il y a du bon et du moins bon. Ici on a du bon. Même si on
devine certains éléments, d’autres restent en suspens. La narration est comme d’ordinaire
efficace, les fausses pistes se multiplient et les suspects aussi. Et quel plaisir de retrouver Poirot, égal à lui-même mais vieillissant. Et si certains aspects
typiquement britanniques sont bien présents, on ressent l’évolution de la
société dans ce roman écrit dans les années 60.
Un bon roman qui me donne envie de continuer à mettre mon
nez dans la boîte de chocolats !
Extrait :
« - Comment s'appelle-t-il?
- Hercule Poirot.
- J'en ai entendu parler. Mais je le croyais mort.
- Non, il ne l'est pas, mais j'ai l'impression qu'il s'ennuie, ce qui est pire. »
- Hercule Poirot.
- J'en ai entendu parler. Mais je le croyais mort.
- Non, il ne l'est pas, mais j'ai l'impression qu'il s'ennuie, ce qui est pire. »
Je n'ai pas lu celui-ci (vu l'adaptation avec D. Suchet). Mais tu as raison, AC = addictif - sauf ses nouvelles et les Marple qui me passent complètement par-dessus la tête :-O
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