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samedi 31 mars 2018

Bilan de mars (Ariane)

Par Ariane
Déjà la fin du mois et l'heure du bilan. J'ai lu 7 livres ce mois-ci, et une fois n'est pas coutume, il n'y a pas eu que des romans ! 
Grâce à ma co-blogueuse j'ai continué ma découverte de l'oeuvre de Kate Morton avec Les brumes de Riverton. Et comme elle, j'ai moins apprécié celui-ci que ses autres romans. 
Autre déception avec La part des flammes de Gaëlle Nohant, dont j'attendais beaucoup.
Avec Churchill m'a menti de Caroline Grimm, j'ai découvert un pan méconnu de l'histoire de la Seconde Guerre Mondiale.
J'avais lu Les rois maudits pendant mon adolescence, et j'ai redécouvert avec plaisir Le roi de fer, le premier tome de la célèbre saga de Maurice Druon. Lecture partagée avec Edyta.
J'ai passé un moment assez sympathique en compagnie des héros de Camilla Lackberg, avec L'oiseau de mauvais augure, quatrième volume de la série. 
Shumnyo Masuno, m'a incitée à voir autrement le rangement avec son petit livre Ranger, une pratique zen.
 Et enfin, grâce à Béa Johnson et son livre Zéro déchets, j'ai désormais de nouvelles pistes pour diminuer les déchets et réduire l'impact écologique produit par notre foyer.





En ce moment je lis L'enfant perdue d'Elena Ferrante. Enfin !


En avril, j'ai envie de lire :



 Et vous, qu'avez-vous lu en mars ?

vendredi 30 mars 2018

Les mots qu'on ne dit pas - Véronique Poulain

Par Daphné















Résumé de l'éditeur :

« “ Salut, bande d’enculés ! ”
C’est comme ça que je salue mes parents quand je rentre à la maison.
Mes copains me croient jamais quand je leur dis qu’ils sont sourds.
Je vais leur prouver que je dis vrai.
“ Salut, bande d’enculés ! ” Et ma mère vient m’embrasser tendrement. »

Sans tabou, avec un humour corrosif, elle raconte.
Son père, sourd-muet.
Sa mère, sourde-muette.
L’oncle Guy, sourd lui aussi, comme un pot.
Le quotidien.
Les sorties.
Les vacances.
Le sexe.
D’un écartèlement entre deux mondes, elle fait une richesse. De ce qui aurait pu être un drame, une comédie.
D’une famille différente, un livre pas comme les autres.


Mon avis :

La Langue des Signes est une langue que j'ai eu l'occasion de connaitre un peu. J'aime cette langue, si belle, si imagée, langue pour laquelle tant de gens se sont battus, langue si longtemps bafouée et non reconnue. Véronique Poulain a grandi dans cette langue et dans le monde de la communauté sourde tout en étant elle-même entendante. Entendante née de parents sourds. Je connais et aime beaucoup le célèbre livre d'Emmanuelle Laborit, Le cri de la mouette où son auteur nous raconte son combat pour la reconnaissance de la LSF  et sa vie d'enfant sourde dans une famille entendante ainsi que les problèmes qui en résultent. Pour Véronique Poulain, c'est l'inverse. Née entendante parmi les sourds, elle grandira avec ses parents entre la gêne et la fierté, entre la révolte et l'amour. Il n'est pas facile de se sentir différente chez soi et de sentir ses parents différents dans la société. 

Sans pudeur, l'auteur nous dévoile les difficultés, quiproquos, incompréhensions de sa famille. L'agacement et la colère se mêlent  sans cesse à l'amour, la honte à la fierté. Avec sincérité et avec humour, elle nous livre ce qu'il y a à la fois de plus beau et de plus terrible de la relation entre sourds et entendants. Il y a une certaine cruauté dans ce livre, l'incompréhension et la colère d'une adolescente face à la différence de ses parents. C'est dur et piquant d'un côté, sincère et drôle de l'autre. La frustration des uns et des autres par rapport à ses difficultés de compréhension se fait ressentir à chaque page mais il y aussi, et surtout, l’amour. 

A découvrir.






Extrait :

"La langue des signes est la langue la plus crue que je connaisse. Les sourds s’expriment de façon simple, directe. Brutale.
Beaucoup de signes sont beaux, poétiques, émouvants - comme les mots 'amour', 'symbole', 'danse' -, mais dans le champ lexical de la sexualité, c'est une autre histoire. Le signe ne laisse place à aucune équivoque. Alors que les mots suggèrent, les gestes imposent. 
Leur crudité heurte les entendants parce que ces gestes anodins pour les sourds sont les mêmes que nous faisons, nous, lorsque nous voulons être grossiers et nous cachons pour les faire. Question de culture."



mercredi 28 mars 2018

Mercredi, c'est le jour des petits - Petit cartable, grande journée - Géraldine Collet-Kerascoët

Par Daphné


















Présentation :

Cet album égraine, avec tendresse, humour et finesse, les moments forts, heureux ou plus difficiles, d'une journée d'école. Le texte joue sur l'alternance simple, mélodieuse et expressive, des adjectifs PETIT et GRAND. Les illustrations, à la fois délicates et joyeusement décalées, nous plongent au coeur de l'imaginaire d'un enfant, qui sait transformer les toboggans en escargots géants, les baignoires en océans, et les journées d'école en véritables aventures... 

Mon avis :

Voici un très joli livre à présenter à l'enfant une veille de rentrée des classes ou pendant l'année scolaire. Avec de magnifiques illustrations, en aquarelle, l'auteur nous présente une journée de classe en alternant, à chaque double page, les adjectifs "grand" ou "petit" pour relater tous les événements de la journée. Deux mots par page seulement et pourtant, ce livre est on ne peut plus parlant! 

Les illustrations sont vraiment belles et stimulent l'imagination de l'enfant avec des tartines géantes, des nuages en forme de mouton ou des chemins d'arc-en-ciel. Un vrai régal pour les yeux! 

Le jeu de contraste entre "grand" et "petit" donnent au livre un côté amusant et rythmé.

Ma fille de quatre ans est toujours contente en écoutant cette histoire, de retrouver les différents moments de sa journée. Quand à moi, ce très joli album me donne plusieurs idées d'activités à réaliser avec elle.


mardi 27 mars 2018

La part des flammes - Gaëlle Nohant

Par Ariane


Auteur : Gaëlle Nohant
Titre : La part des flammes
Genre : roman
Langue d’origine : français
Editeur : Héloïse d’Ormesson
Nombre de pages : 496p
Date de parution : mars 2015

Présentation de l’éditeur :
Mai 1897. Pendant trois jours, le Tout-Paris se presse rue Jean-Goujon à la plus mondaine des ventes de charité. Les regards convergent vers le comptoir n° 4, tenu par la charismatique duchesse d’Alençon. Au mépris du qu’en-dira-t-on, la princesse de Bavière a accordé le privilège de l’assister à Violaine de Raezal, ravissante veuve à la réputation sulfureuse, et à Constance d’Estingel, qui vient de rompre brutalement ses fiançailles. Dans un monde d’une politesse exquise qui vous assassine sur l’autel des convenances, la bonté de Sophie d’Alençon leur permettra-t-elle d’échapper au scandale ? Mues par un même désir de rédemption, ces trois rebelles verront leurs destins scellés lors de l’incendie du Bazar de la Charité.
Enlèvement, duel, dévotion, La Part des flammes nous plonge dans le Paris de la fin du xixe au cœur d’une histoire follement romanesque qui allie avec subtilité émotion et gravité.

Mon avis :
Lors de sa sortie, ce roman a beaucoup circulé sur les blogs, mais il m’aura fallu du temps avant de me décider à le lire. Et en fait, j’aurais pu m’en passer car cette lecture ne m’a pas passionnée.
S’inspirant du dramatique incendie du bazar de la charité en 1897, l’autrice mêle réalité et imaginaire, personnages historiques et personnages inventés. Elle imagine ainsi le destin de deux jeunes femmes, Constance d’Estingel et Violaine de Raezal et les place au stand tenu par la duchesse d’Alençon, plus jeune sœur de l’impératrice Elisabeth d’Autriche. L’intrigue se situe principalement après le drame, auquel toutes deux survivent, bien que marquées physiquement et psychologiquement.
J’attendais beaucoup de ce roman et je n’ai pas trouvé ce que j’imaginais. Je me suis ennuyée et ne me suis pas passionnée pour le destin des héroïnes, pas plus que je me suis attachée à elles. J’ai trouvé le rythme irrégulier et le style de Gaëlle Nohant trop terne. Bref, ça n’a pas été une lecture que je retiendrais.

Extrait :
« Les livres lui avaient enseigné l’irrévérence et leurs auteurs, à aiguiser son regard sur ses semblables ; à percevoir, au-delà des apparences, le subtil mouvement des êtres, ce qui s’échappait d’eux à leur insu et découvrait des petits morceaux d’âme à ceux qui savaient les voir. Mais la lecture avait aussi précipité sa chute. Quand elle entendait dire que les romans étaient de dangereux objets entre les mains d’une jeune fille, elle ne protestait plus. Puissants et dangereux, oui, car ils vous versaient dans la tête une liberté de penser qui vous décalait, vous poussait hors du cadre. On en sortait sans s’en rendre compte, on avait un pied dansant à l’extérieur et la cervelle enivrée, et quand on recouvrait ses esprits il était trop tard. »

lundi 26 mars 2018

L'enfant perdue - Elena Ferrante

Par Daphné



















Résumé de l'éditeur :

À la fin de Celle qui fuit et celle qui reste, Lila montait son entreprise d’informatique avec Enzo, et Elena réalisait enfin son rêve : aimer Nino et être aimée de lui, quitte à abandonner son mari et à mettre en danger sa carrière d’écrivain. Car elle s’affirme comme une auteure importante et l’écriture l’occupe de plus en plus, au détriment de l’éducation de ses deux filles, Dede et Elsa. L’histoire d’Elena et de Nino est passionnelle, et bientôt Elena vit au gré de ses escapades pour retrouver son amant. Lors d’une visite à Naples, elle apprend que Lila cherche à la voir à tout prix. Après avoir embrassé soixante ans d’histoire des deux femmes, de Naples et de toute l’Italie, la saga se conclut en apothéose. Plus que jamais, dans L’enfant perdue, Elena Ferrante nous livre un monde complet, riche et bouillonnant, à la façon des grands romanciers du XIXe siècle, un monde qu’on n’oublie pas.

Mon avis :

C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai retrouvé Lila et Elena dans le quatrième tome de L'amie prodigieuse. Avec un peu de tristesse aussi : cette fois, c'est le dernier tome, il n'y aura plus de suite à attendre. J'avais à la fois hâte de connaitre la fin de la saga... tout en ne voulant pas la connaître. Un peu comme lorsque j'ai enfin eu entre les mains le dernier tome d'Harry Potter.

Ce dernier tome nous conte l'histoire de Lena et de Lila des années 70 aux années 2000 et par la même l'histoire de Naples et de l'Italie. L'histoire se poursuit donc avec, en toile de fond, le contexte social et politique de l'Italie et la lutte des classes.
Si Elena s'était en effet éloigné de son quartier natal, elle  y reviendra pour un temps et le contraste entre sa vie et celle de Lila n'en sera que plus flagrant. Contraste mais parallélisme également dans les existences de s deux héroïnes, liées tout au long de leur vie qu'elles tentent ou non de s'éloigner l'une de l'autre. 

A l'image du lecteur qui en refermant le livre perd l'attente de la suite (oui, oui, j'ai vraiment l'impression de perdre quelque chose quand j'achève la lecture d'une saga qui m'a autant transportée!), le thème de la perte est récurrent dans ce livre. Perte des illusions, pertes des êtres aimés. Je n'en dirais pas plus pour ne pas dévoiler trop d'éléments à ceux qui ne l'ont pas lu mais j'ai été véritablement surprise par l'une de ses pertes, si douloureuse, à laquelle je ne m'attendais pas.

J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire lors des premiers chapitres (peut-être parce qu'on n'y croise pas Lila ou que certains côtés d'Elena m'ont un peu agacée) mais je me suis ensuite véritablement laissée emporter par ce roman où se passent tant de choses, où l'on navigue à la fois dans le sentiment contradictoire et complémentaire d'amour et de haine qui caractérise la relation d'Elena et Lila.
Les relations entre les personnages sont toujours aussi complexes, toujours aussi bien explorées tout en gardant une part de mystère qui ne sera jamais complètement dévoilée. Les tempéraments et les existences des héroïnes s'opposent et se complètent à la fois dans une fusion qui, si elle est moins forte qu’auparavant, restera présente. Les personnages secondaires sont eux aussi bien explorés, parfois surprenants.

On retrouve bien sûr l'écriture d’Elena Ferrante, cette écriture que je qualifierais d’addictive, écriture belle et précise, qui sait si bien entraîner le lecteur dans son histoire. Je retiendrai de cette saga quelque chose de fort, ayant tout autant aimé l'histoire que les personnages ou l'écriture de l'auteur. Quatre livres que je n'oublierai pas et vers lesquels je retournerai probablement de temps à autres. Quatre beaux livres.

Extrait :

"Bien qu'elle nous ait toujours tous dominés et nous ait imposé à tous une façon d'être, sous peine de son ressentiment et de sa fureur, elle ressentait en elle-même come un torrent, et tous ses efforts étaient, tout compte fait, destinés à se maîtriser. Quand, malgré ses calculs et ses plans préventifs sur les personnes et sur les choses, le torrent l'emportait, Lila perdait Lila, le chaos devenait l'unique vérité et elle, si active, si courageuse, s'effaçait terrorisée, elle se réduisait à néant."


samedi 24 mars 2018

Zéro déchet. Comment j'ai réalisé 40% d'économie en réduisant mes déchets à moins de 1 litre par an ! - Béa Johnson

Par Ariane


Auteur : Béa Johnson

Titre : Zéro Johnson

Genre : documents

Langue d’origine : français

Editeur : Les arènes

Nombre de pages : 400p

Date de parution : septembre 2013

Présentation de l’éditeur :

Béa Johnson est une française installée aux États-Unis avec son mari Scott et leurs deux jeunes garçons.

Elle s’est lancée dans une étonnante aventure: simplifier sa vie en réduisant ses déchets. Aujourd’hui, la famille Johnson n’en produit plus qu’un litre par an !

Dans ce livre, Béa nous dévoile des centaines d’astuces et de conseils pratiques pour adopter un mode de vie durable…



Mon avis :

Edit : avant de publier un article, j'ai l'habitude de lire le dernier article publié par ma co-blogueuse. Et aujourd'hui surprise ! sans en avoir parlé, nos articles traitent d'un sujet similaire. Comme quoi nos préoccupations se rejoignent ! J'ai hésité à publier mon article, craignant que ce soit redondant, mais tant pis, le sujet est tellement important et me tient tellement à cœur que je me dis que deux articles valent mieux qu'un !
 
On commence à parler du « zéro déchet » mais pas encore assez. Et pourtant, au vu de notre surconsommation et de notre surproduction de matières non recyclables et dangereuses, tant pour notre environnement que pour notre santé, c’est un sujet d’une importance capitale.

Je suis depuis longtemps sensible à l’écologie et nous faisons depuis plusieurs années quelques petits gestes qui ont permis de réduire notre production de déchets: utiliser des couches lavables pour les enfants, préférer les mouchoirs en tissu plutôt que papier, acheter en vrac des aliments secs (céréales, légumes secs, farine, sucre,...), fabriquer les produits ménagers, utiliser des produits cosmétiques sans emballage et naturels, éviter les produits industriels et privilégier le fait maison, faire les courses au marché, chez les petits commerçants ou directement chez les producteurs, composter une partie de nos déchets, trier et recycler au maximum, acheter et vendre en vide-grenier ou dépôt-vente,…

Malgré tout cela, quand je regarde nos poubelles, je pense que nous pouvons faire mieux. J’ai souvent vu passer le livre de Béa Johnson dans des émissions, des blogs ou des articles, et j’étais très curieuse de savoir comment elle a pu réduire les déchets d’une famille de 4 personnes à 1 litre par an !

Si je ne pense pas appliquer toutes ses astuces, j’ai quand même trouvé pas mal d’idées pratiques qui me permettront de réduire encore plus les déchets produits par notre famille. Je n’ai jamais pensé à contacter directement notre centre de collecte pour avoir des conseils sur certains déchets particuliers. Je n’avais jamais réfléchi non plus, au fait que le recyclage en lui-même est générateur de déchets et de pollution. Si la plupart des conseils de Béa Johnson sont assez simples à appliquer et relèvent même assez souvent du bon sens, cela demande toutefois un changement dans les habitudes de consommation et dans l’organisation quotidienne (prévoir une grande quantité de bocaux en verre pour stocker les aliments et toujours en avoir dans la voiture pour faire les courses par exemple).

Ses astuces sur le désencombrement rejoignent d’autres préoccupations dont j’ai parlé dans un précédent billet : le rangement et l’abondance de choses dans une maison. C’est donc un chantier auquel nous allons sérieusement nous attaquer. Espérons que nous arrivions à nous défaire d’une grande partie de ces affaires qui au final nous encombrent et ne nous sont pas vraiment utiles.

Mais, je ne comprends pas pourquoi elle dit aux commerçants surpris lorsqu'elle présente ses bocaux ne pas avoir de poubelle chez elle, plutôt que d'expliquer sa démarche, cela me semblerait plus judicieux et permettrait de sensibiliser. 
Elle m'a aussi offert un grand fou rire quand elle explique que dans sa phase la plus extrême, elle a essayé de trouver de la mousse en forêt pour remplacer le papier toilette ! Alors là merci Béa pour ce fou rire, ça fait un du bien !

J’ai été très intéressée par cette lecture, qui a eu le mérite de booster mes recherches sur le zéro déchet et de me donner pas mal d’idées concrètes.



Extrait :

« Mais le zéro déchet est un idéal, un objectif auquel on peut tenter de se rapprocher un maximum. (...) Après tout, ce qui importe, c'est de comprendre l'impact que notre pouvoir d'achat a sur l'environnement et d'agir en conséquence. Tout pas vers le développement durable, si moindre soit-il, aura un effet positif sur notre planète et notre société. »



« Réduire, c'est contribuer directement à la résolution de la crise environnementale. C'est s'attaquer au cœur du problème des déchets et prendre en considération les conséquences environnementales de l'accroissement de la population, de la consommation qui va avec, et de la raréfaction des ressources planétaires qui ne peuvent pas subvenir aux besoins de tous.
Réduire permet aussi d'avoir un style de vie simplifié et de préférer la qualité à la quantité, l'expérience aux biens matériels.
Cela incite à remettre en question tous vos achats, passés et futurs : en avez-vous besoin ? Les utilisez-vous ?
Vous devriez avoir réellement besoin de ce que vous possédez. »



« Réduire vos déchets ménagers est relativement simple
si vous suivez ces cinq étapes :
- refusez ce dont vous n'avez pas besoin
- réduisez ce dont vous avez besoin
- réutilisez ce que vous consommez
- recyclez ce que vous ne pouvez ni refuser, ni réduire, ni réutiliser
- et compostez le reste. »