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mardi 20 décembre 2016

Le retour - Robert Goddard

Par Ariane



Auteur : Robert Goddard

Titre : Le retour

Genre : roman

Langue d’origine : anglais

Editeur : Sonatine

Nombre de pages : 400p

Date de parution : 2014

Présentation de l’éditeur :

Cornouailles, 1981. Chris Napier revient pour la première fois depuis des années à Tredower House, le domaine familial, acquis entre les deux guerres par son grand-oncle Joshua, pour assister au mariage de sa nièce. Au beau milieu de la cérémonie, Nick Lanyon, l'ami d'enfance de Chris, fait irruption et annonce, à la surprise de tous, que son père, Michael Lanyon, exécuté pour avoir commandité le meurtre de Joshua en 1947, était innocent. Il en a la preuve. Le lendemain, on retrouve Nick pendu. Par fidélité envers son ami, et pour dissiper des silences et des zones d'ombre qui depuis trop longtemps hantent sa famille, Chris décide de faire la lumière sur l'assassinat de son grand-oncle. Mais il y a des secrets qu'il est parfois bon de laisser en sommeil et Chris est loin de se douter des dangers qu'il encourt en exposant ainsi la légende familiale à la lumière de la vérité.


Mon avis :

Ce roman figure sur ma liste depuis bien longtemps et c’est grâce au challenge petit bac que je l’ai enfin lu. De l’auteur, j’avais lu Heather Mallender a disparu. Une lecture que j’avais trouvée agréable et bien écrite mais dont je ne gardais pas un souvenir précis.

Ce second roman m’a également plu, je l’ai même préféré au précédent. Ce n’est pas un grand roman, mais c’est une lecture très agréable et prenante. C’est un véritable page-turner.  J’ai très vite été happée par cette histoire qui, si elle ne brille ni par son originalité ni par une écriture inoubliable, est bien construite, bien menée et bien rythmée. Les rebondissements sont attendus mais bien amenés.

C’est vraiment une lecture parfaite pour se détendre, idéale pour des vacances ou les temps de transports.



Extrait :

« Vivre dans le passé. Cette phrase est toujours employée de façon péjorative, comme si le passé était nécessairement inférieur au futur, ou en tout cas moins important : on ne reproche jamais à personne de regarder vers l’avant, seulement de regarder en arrière. Mais la vérité, c’est que nous vivons bel et bien dans le passé, que ça nous plaise ou non. C’est là que notre vie prend forme. Quelque part devant nous, près ou loin, c’est la fin. Mais derrière, enveloppé dans les nuages de l’oubli, se trouve le commencement. » 

ennalit.canalblog.com/archives/2016/01/01/33098969.html
L'avis d'Eva,

4 commentaires:

  1. J'en ai un de l'auteur dans ma PAL, mais ce n'est pas celui-ci.

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    1. J'ai déjà lu Heather Mallander, qui m'avait laissé une impression semblable à celui-ci : sympa mais pas marquant.
      Ariane

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  2. Pas le genre de roman dont j'ai envie en ce moment je dois dire.

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