Par Ariane
Auteur : Tove Alsterdal
Titre : Chant des âmes sans repos
Genre : policier
Langue d’origine : suédois
Traductrice : Johanna Brock
Editeur : éditions du Rouergue
Nombre de pages : 464p
Date de parution : avril 2019
Mon avis :
En matière de polars, les auteurs suédois sont réputés pour être une valeur sûre. Pourtant, je n’en ai pas lu beaucoup jusqu’ici. Ayant eu une envie de polars, j’ai décidé de combler cette lacune en choisissant ce roman de Tove Alsterdal, aux éditions du Rouergue qui m’ont déjà offert à plusieurs reprises de très belles lectures (Peter May et Colin Niel !)
Eva et Svante sont divorcés depuis quelques années. Elle est restée célibataire, lui vit désormais avec une jeune et jolie femme dans une maison toute neuve. Et sans qu’ils s’en doutent, Eva est cachée dans les buissons à espionner le jeune couple. Lorsque Svante sort faire quelques courses, elle lui emboîte le bas et l’interpelle un peu plus tard. La discussion est houleuse et s’interrompt brusquement lorsque Eva perd connaissance, assommée. Quand elle reprend ses esprits, elle découvre Svante, mort assassiné à ses côtés. Tout l’accuse, son seul espoir est peut-être de retrouver un témoin, une jeune femme rom.
En partant à la recherche de la jeune rom susceptible de témoigner en sa faveur, Eva entre en contact avec des associations venant en aide à la communauté, part sur leurs traces jusqu’en Roumanie et à travers ce périple, nous découvrons l’histoire et la culture de cette communauté mal-aimée.
Malheureusement, c’est là tout ce qui m’a intéressée dans ce récit… A aucun moment je ne me suis intéressée à l’intrigue policière qui me semblait tirée par les cheveux, qu’il s’agisse du meurtre de Svante ou de la sous-intrigue liée à un ancien hôpital psychiatrique et dont je n’ai absolument pas compris ce que ça venait faire là… Je ne me suis pas non plus attachée aux personnages tous plus antipathiques les uns que les autres.
Bref, mis à part l’aspect social du livre que j’ai trouvé intéressant, je suis déçue de cette lecture qui ne me donne pas envie de relire des polars suédois !
Dommage.. je me permets tout de même, si tu veux bien, de récupérer ton lien pour le récapitulatif de l'activité Lire (sur) les minorités ethniques.
RépondreSupprimerUn auteur que j'avais noté sans passer à l'acte... je vais passer, je crois ! En polar suédois, je n'ai rien lu de génial depuis Henning Mankell, sauf Octobre de Soren Sveistrup
RépondreSupprimerCôté suédois, lis Mankell et sa série Kurt Wallander, c'est du solide.
RépondreSupprimerAnonyme au-dessus, c'est moi !
SupprimerAvec un autre auteur suédois, peut-être.
RépondreSupprimer