Par Daphné
Titre :Un mur si haut
Auteur : Nancy Guilbert
Illustratrice : Stéphanie Augusseau
Edition : Des ronds dans l'O jeunesse
Résumé :
Deux enfants, Plume et Timy, issus de deux royaumes différents, sont les
meilleurs amis du monde. Malheureusement, se disputant un lopin de
terre, les deux rois décident de ne plus se parler et de construire un
mur séparant les deux villages.
Mon avis
La semaine dernière, j'ai été interpellée par le billet que Claudialucia a fait sur ce livre (voir ici). Le hasard a voulu que deux jour plus tard, je tombe justement sur ce même livre à la bibliothèque ! Je me suis donc empressée de l'emprunter!
Timy et Plume sont inséparables jusqu'au jour où les rois de leur royaumes respectifs se disputent et décident de construire un mur qui séparera leurs deux villages. Pour un adulte, cette histoire n'est pas sans rappeler la constructions de certains autres murs. Mes filles n'ayant que six et quatre ans, cette histoire n'a pas eu la même résonance chez elle que chez moi mais elles ont été sensibles à la séparation injuste des deux amis et à l'optimisme de la fin. Comme elles sont encore petites, je me suis pas lancée dans des explications historiques ou, malheureusement, bien actuelles, faisant écho au livre mais j' ai écouté avec attention leur avis sur l'histoire. Ainsi, l'une d'elle m'a fait remarquer que "maman, c'est bien de casser le mur pour que les gens se réconcilient mais quand même, c'est dangereux, il aurait pu leur tomber dessus. C'est un peu une bêtise.", ce à quoi sa sœur a répondu : "la bêtise, c'est plutôt d'avoir construit le mur et d'avoir séparé les gens. S'ils avaient pas construit le mur, il y aurait pas eu besoin de le détruire!". Je pense donc que le message du livre est plus ou moins passé chez mes enfants!
Cet album peut être un bon support pour aborder avec les enfants les murs (qu'ils soient réels ou "symboliques " qui se dressent entre les peuples, entre les gens. Il peut être l'occasion de parler des conflits mais aussi de l'amitié, des réconciliations, de la tolérance.
Les illustrations sont très belles avec des couleurs rappelant la terre et le ciel. Les habitants des différents villages se différencient par la couleur de leur peau et de leurs habits. Cela fait d'autant plus passer le message que, quel que soient leurs différences, les personnages s'aiment et ont besoin les uns des autres.
Un bel album qui appelle à la tolérance !
mercredi 30 mai 2018
lundi 28 mai 2018
Le rouge vif de la rhubarbe - Audur Ava Olafsdottir
Par Daphné
Auteur : Audur Ava Olafsdottir
Titre :Le rouge vif de la rhubarbe
Genre : roman
Résumé de l'éditeur :
"Il y a certainement des trolls, des lutins et des fées en Islande... Dans tous les cas, il y a Audur Ava Olafsdóttir qui nous avait déjà enchantés avec Rosa candida, c'est la fée des mots. Elle sait comme nulle autre les rassembler, les tricoter avec une belle simplicité pour nous faire vivre au plus près le quotidien de ses personnages, nous faire découvrir les couleurs et les senteurs de son île. On imagine les maisons colorées, les plages de sable noir et ce rouge vif du champ de rhubarbe où va méditer Ágústína. Sa mère est partie suivre les oiseaux migrateurs, sa chère Nína la console avec du boudin de mouton et autres délices et elle, malgré ses jambes de coton, rêve de voir le monde de haut en faisant l'ascension de la Montagne, pas moins de 844 mètres. Un roman qui enchante le quotidien, donne des ailes et laisse un joyeux goût de bonheur partagé."
Mon avis :
Audur Ava Olafsdottir est une auteur que j'apprécie particulièrement. Il se dégage de ses livres une certaine douceur,un charme et une subtilité qui me touchent à chaque fois. Ce livre là ne fait pas exception. Premier roman de l'auteur, il se déguste, mot par mot, page par page.
On suit ici l'histoire d'Agustina, conçue dans un champs de rhubarbe et née dans une camionnette. elle ne connait pas son père et sa mère, partie suivre les oiseaux migrateurs, lui envoie des lettres mais n'est pas tellement présente mais Agustina est bien entourée par Nina, qui l'a élevée, le voisin Vermundur et son ami de Salomon. Agustina ne marche pas tout à fait comme les autres mais 'adapte à tout et a une grande volonté d'avancer. Au rythme de ses béquilles et de la lumière ou de l'obscurité du ciel, nous la suivons à travers le champs de rhubarbe et les paysages islandais.
A la fois doux et poétique, Le rouge vif de la rhubarbe est un livre que je qualifierais de sensoriel car tous nos sens sont sollicités au fil des pages : auprès d'Agustina, on sent, on voit, on entend et on goûte la terre islandaise. L'histoire, les personnages, les moments contés sont simples, simples mais beaux, doux et poétiques.
Un beau livre qui, comme Agustina, nous donne envie de gravir les montagnes...
Extrait :
"C'est sage d'économiser les mots. Beaucoup gagneraient à fermer leurs oreilles aux bavardages pour mieux se servir de leurs yeux."
Auteur : Audur Ava Olafsdottir
Titre :Le rouge vif de la rhubarbe
Genre : roman
Langue d’origine :islandais
traducteur: Catherine Eyjolfsson
Editeur : Zulma
Nombre de pages : 136
Résumé de l'éditeur :
"Il y a certainement des trolls, des lutins et des fées en Islande... Dans tous les cas, il y a Audur Ava Olafsdóttir qui nous avait déjà enchantés avec Rosa candida, c'est la fée des mots. Elle sait comme nulle autre les rassembler, les tricoter avec une belle simplicité pour nous faire vivre au plus près le quotidien de ses personnages, nous faire découvrir les couleurs et les senteurs de son île. On imagine les maisons colorées, les plages de sable noir et ce rouge vif du champ de rhubarbe où va méditer Ágústína. Sa mère est partie suivre les oiseaux migrateurs, sa chère Nína la console avec du boudin de mouton et autres délices et elle, malgré ses jambes de coton, rêve de voir le monde de haut en faisant l'ascension de la Montagne, pas moins de 844 mètres. Un roman qui enchante le quotidien, donne des ailes et laisse un joyeux goût de bonheur partagé."
Mon avis :
Audur Ava Olafsdottir est une auteur que j'apprécie particulièrement. Il se dégage de ses livres une certaine douceur,un charme et une subtilité qui me touchent à chaque fois. Ce livre là ne fait pas exception. Premier roman de l'auteur, il se déguste, mot par mot, page par page.
On suit ici l'histoire d'Agustina, conçue dans un champs de rhubarbe et née dans une camionnette. elle ne connait pas son père et sa mère, partie suivre les oiseaux migrateurs, lui envoie des lettres mais n'est pas tellement présente mais Agustina est bien entourée par Nina, qui l'a élevée, le voisin Vermundur et son ami de Salomon. Agustina ne marche pas tout à fait comme les autres mais 'adapte à tout et a une grande volonté d'avancer. Au rythme de ses béquilles et de la lumière ou de l'obscurité du ciel, nous la suivons à travers le champs de rhubarbe et les paysages islandais.
A la fois doux et poétique, Le rouge vif de la rhubarbe est un livre que je qualifierais de sensoriel car tous nos sens sont sollicités au fil des pages : auprès d'Agustina, on sent, on voit, on entend et on goûte la terre islandaise. L'histoire, les personnages, les moments contés sont simples, simples mais beaux, doux et poétiques.
Un beau livre qui, comme Agustina, nous donne envie de gravir les montagnes...
Extrait :
"C'est sage d'économiser les mots. Beaucoup gagneraient à fermer leurs oreilles aux bavardages pour mieux se servir de leurs yeux."
dimanche 27 mai 2018
Salon du livre jeunesse de Louargat
Par Ariane
Même si c'est le désert en ce moment côté lectures (une panne de lecture qui dure depuis quelques semaines, j'espère vite m'en sortir et retrouver mes livres !), j'attendais avec impatience ce petit salon du livre jeunesse. Je ne suis pas une grande adepte des salons du livres, trop de monde, trop de bruit, trop de business, l'impression d'être à la FNAC juste avant Noël. Un cauchemar ! Mais un petit salon proche de chez moi, quel bonheur ! J'en ai déjà parlé il y a quelques années (ici) lors de la 1ère édition de ce salon.
Une quinzaine d'auteurs/illustrateurs étaient présents ce week-end. Gros avantage d'un petit salon, ils étaient très disponibles et détendus. J'ai eu la chance de discuter un moment avec plusieurs d'entre eux et de découvrir le travail d'auteurs que je ne connaissais pas.
Yves Pinguilly (son site)
Un auteur que j'ai déjà rencontré plusieurs fois sur des salons et dont nous avons plusieurs albums à la maison. Très prolifique, il a à son actif de nombreux albums et romans jeunesse, des romans adultes, des livres de contes et légendes, des essais, de la poésie et du théâtre. Rien que ça ! Ses ouvrages marquent son attachement à l'histoire et à l'Afrique, son goût des voyages et de la poésie. Il y a une vraie richesse dans ses livres qui me plaît beaucoup, de même qu'à mes filles. Beaucoup de couleurs également. A son stand j'ai de suite été attirée par une couverture aux tons bleus, empreinte de douceur et invitant à la rêverie, assez différente des albums très colorés et joyeux que je connaissais jusqu'à présent. Ma fille a eu la bonne idée de craquer pour le même, alors aucun scrupules ! Quant à ma grande elle a jeté son dévolu sur un petit roman.
Adrienne Yabouza
Cette autrice originaire Centrafrique, travaille souvent en collaboration avec Yves Pinguilly. Elle a écrit plusieurs romans et quelques albums jeunesse (dont son dernier qui m'a fait de l’œil, mais je n'ai pas pu céder à toutes mes envies...).
Richard Marnier (son site)
Il nous a bien fait rire Richard Marnier ! Et quelle surprise pour ma fille de rencontrer l'auteur d'un livre qu'elle avait lu en classe dans le cadre du prix des Incorruptibles ! Son 2ème préféré parmi la sélection. J'ai choisi un album qui lui a été inspiré par sa fille pour mon petit bonhomme.
Sandra Le Guen (son site, son blog)
Cette jeune femme souriante et chaleureuse n'avait peut-être pas le stand le plus fourni, mais j'espère que cela viendra. J'ai eu un coup de cœur (mon cœur a été soumis à rude épreuve ce jour-là!) pour L'apachyderme, un petit album coloré, original et très amusant. Je l'ai déjà lu à mon tout petit qui a été très attentif, signe certain qu'il était aussi conquis que moi.
Sylvie Sternis (son site)
Encore une rencontre surprenante et passionnante ! Sylvie Sternis, ancienne institutrice et désormais autrice et éditrice, publie des petits livres très innovants. Sur la page de gauche, des pictogrammes accompagnent le texte. En noir et blanc, des illustrations basiques, qui permettent aux plus jeunes (dès la maternelle) de suivre le sens de la lecture, d'intégrer des concepts (dedans/dehors, la négation,...) et du vocabulaire. La page de droite est masquée par un rabat qui révèle une illustration colorée lorsqu'on le soulève. On peut ainsi séparer le texte de l'image, ce qui permet d'attirer l'attention de l'enfant sur l'écrit. Ensuite, l'illustration lui est révélée et il peut à loisir relier le dessin aux mots entendus. Je trouve le principe très intéressant, et je vais probablement en parler très vite à l'institutrice de maternelle de l'école !
D'autres auteurs/illustrateurs étaient également présents, et bien que je me sois arrêtée à chaque stand, je n'ai pas eu le loisir de discuter plus longuement avec eux : Anne Isabelle Le Touze, Céline Lamour Crochet, Cécile Bernard, Elsa Devernois, Arianna Tamburini, Carole Le pan, Nathalie Stragier, Renaud Marhic.
Dans la semaine précédant le salon en lui-même, plusieurs auteurs sont intervenus dans des écoles du secteur. Je vais d'ores et déjà voir s'il est possible d'en organiser une dans l'école des filles (qui en organise déjà de temps en temps, Orianne Lallemand y était il y a quelques jours).
Ma librairie préférée avait également un stand sur lequel ma fille aînée, passionnée par les oiseaux (elle se rêve en ornithologue !), a craqué sur un charmant livre. Bon, il me plaît beaucoup aussi, mais je regrette un peu de ne pas l'avoir détournée de ce livre pour l'orienter plutôt vers un auteur présent. J'ai eu un dernier gros coup de cœur pour un superbe album que j'espère bien retrouver rapidement.
Le salon se déroule sur deux jours, le dimanche un spectacle de la compagnie Choukibenn (site) est proposé. Je regrette de n'avoir pu y assister, car je garde un très bon souvenir du spectacle auquel j'avais assisté la première année.
Il y avait également des ateliers, un espace jeu, une fresque collective,... Bref des animations proposées aux enfants pour qu'ils ne s'impatientent pas trop pendant que maman envisage de dévaliser les stands.
Le salon est organisé par l'Amicale Laïque de Louargat et je suis admirative devant l'investissement des bénévoles. Moi qui ai l'habitude d'organiser et de participer à des évènements associatifs, j'imagine la quantité de travail nécessaire en amont. Chapeau !
Un salon à dimension humaine, convivial et accueillant. Et en plus... il y a des crêpes !
Même si c'est le désert en ce moment côté lectures (une panne de lecture qui dure depuis quelques semaines, j'espère vite m'en sortir et retrouver mes livres !), j'attendais avec impatience ce petit salon du livre jeunesse. Je ne suis pas une grande adepte des salons du livres, trop de monde, trop de bruit, trop de business, l'impression d'être à la FNAC juste avant Noël. Un cauchemar ! Mais un petit salon proche de chez moi, quel bonheur ! J'en ai déjà parlé il y a quelques années (ici) lors de la 1ère édition de ce salon.
Une quinzaine d'auteurs/illustrateurs étaient présents ce week-end. Gros avantage d'un petit salon, ils étaient très disponibles et détendus. J'ai eu la chance de discuter un moment avec plusieurs d'entre eux et de découvrir le travail d'auteurs que je ne connaissais pas.
Yves Pinguilly (son site)
Un auteur que j'ai déjà rencontré plusieurs fois sur des salons et dont nous avons plusieurs albums à la maison. Très prolifique, il a à son actif de nombreux albums et romans jeunesse, des romans adultes, des livres de contes et légendes, des essais, de la poésie et du théâtre. Rien que ça ! Ses ouvrages marquent son attachement à l'histoire et à l'Afrique, son goût des voyages et de la poésie. Il y a une vraie richesse dans ses livres qui me plaît beaucoup, de même qu'à mes filles. Beaucoup de couleurs également. A son stand j'ai de suite été attirée par une couverture aux tons bleus, empreinte de douceur et invitant à la rêverie, assez différente des albums très colorés et joyeux que je connaissais jusqu'à présent. Ma fille a eu la bonne idée de craquer pour le même, alors aucun scrupules ! Quant à ma grande elle a jeté son dévolu sur un petit roman.
Adrienne Yabouza
Cette autrice originaire Centrafrique, travaille souvent en collaboration avec Yves Pinguilly. Elle a écrit plusieurs romans et quelques albums jeunesse (dont son dernier qui m'a fait de l’œil, mais je n'ai pas pu céder à toutes mes envies...).
Richard Marnier (son site)
Il nous a bien fait rire Richard Marnier ! Et quelle surprise pour ma fille de rencontrer l'auteur d'un livre qu'elle avait lu en classe dans le cadre du prix des Incorruptibles ! Son 2ème préféré parmi la sélection. J'ai choisi un album qui lui a été inspiré par sa fille pour mon petit bonhomme.
Anbleizdu (son site)
Encore un auteur qui nous a fait rire ! Ce jeune auteur à l'improbable chapeau m'était totalement inconnu et j'ai beaucoup aimé découvrir son univers fantastique et coloré. J'avais une nette préférence pour deux des albums présentés mais ma fille a choisi celui qui m'attirait le moins (désolée!). J'espère que notre lecture commune me convaincra qu'elle a fait le bon choix. N'empêche que je garde en tête les deux autres pour une prochaine fois !Sandra Le Guen (son site, son blog)
Cette jeune femme souriante et chaleureuse n'avait peut-être pas le stand le plus fourni, mais j'espère que cela viendra. J'ai eu un coup de cœur (mon cœur a été soumis à rude épreuve ce jour-là!) pour L'apachyderme, un petit album coloré, original et très amusant. Je l'ai déjà lu à mon tout petit qui a été très attentif, signe certain qu'il était aussi conquis que moi.
Sylvie Sternis (son site)
Encore une rencontre surprenante et passionnante ! Sylvie Sternis, ancienne institutrice et désormais autrice et éditrice, publie des petits livres très innovants. Sur la page de gauche, des pictogrammes accompagnent le texte. En noir et blanc, des illustrations basiques, qui permettent aux plus jeunes (dès la maternelle) de suivre le sens de la lecture, d'intégrer des concepts (dedans/dehors, la négation,...) et du vocabulaire. La page de droite est masquée par un rabat qui révèle une illustration colorée lorsqu'on le soulève. On peut ainsi séparer le texte de l'image, ce qui permet d'attirer l'attention de l'enfant sur l'écrit. Ensuite, l'illustration lui est révélée et il peut à loisir relier le dessin aux mots entendus. Je trouve le principe très intéressant, et je vais probablement en parler très vite à l'institutrice de maternelle de l'école !
D'autres auteurs/illustrateurs étaient également présents, et bien que je me sois arrêtée à chaque stand, je n'ai pas eu le loisir de discuter plus longuement avec eux : Anne Isabelle Le Touze, Céline Lamour Crochet, Cécile Bernard, Elsa Devernois, Arianna Tamburini, Carole Le pan, Nathalie Stragier, Renaud Marhic.
Dans la semaine précédant le salon en lui-même, plusieurs auteurs sont intervenus dans des écoles du secteur. Je vais d'ores et déjà voir s'il est possible d'en organiser une dans l'école des filles (qui en organise déjà de temps en temps, Orianne Lallemand y était il y a quelques jours).
Ma librairie préférée avait également un stand sur lequel ma fille aînée, passionnée par les oiseaux (elle se rêve en ornithologue !), a craqué sur un charmant livre. Bon, il me plaît beaucoup aussi, mais je regrette un peu de ne pas l'avoir détournée de ce livre pour l'orienter plutôt vers un auteur présent. J'ai eu un dernier gros coup de cœur pour un superbe album que j'espère bien retrouver rapidement.
Le salon se déroule sur deux jours, le dimanche un spectacle de la compagnie Choukibenn (site) est proposé. Je regrette de n'avoir pu y assister, car je garde un très bon souvenir du spectacle auquel j'avais assisté la première année.
Il y avait également des ateliers, un espace jeu, une fresque collective,... Bref des animations proposées aux enfants pour qu'ils ne s'impatientent pas trop pendant que maman envisage de dévaliser les stands.
Le salon est organisé par l'Amicale Laïque de Louargat et je suis admirative devant l'investissement des bénévoles. Moi qui ai l'habitude d'organiser et de participer à des évènements associatifs, j'imagine la quantité de travail nécessaire en amont. Chapeau !
Julien, Anne, Pascale, Julie, Christelle
Un salon à dimension humaine, convivial et accueillant. Et en plus... il y a des crêpes !
vendredi 25 mai 2018
Betty - Arnaldur Indridason
Par Daphné :
Auteur : Arnaldur Indridason
Résumé de l'éditeur :
Dans ma cellule je pense à elle, Betty, si belle, si libre, qui s'avançait vers moi à ce colloque pour me dire son admiration pour ma conférence. Qui aurait pu lui résister ? Ensuite, que s'est-il passé ? Je n'avais pas envie de ce travail, de cette relation. J'aurais dû voir les signaux de danger. J'aurais dû comprendre bien plus tôt ce qui se passait. J'aurais dû... J'aurais dû... J'aurais dû...
Maintenant son mari a été assassiné et c'est moi qu'on accuse. La police ne cherche pas d'autre coupable. Je me remémore toute notre histoire depuis le premier regard et lentement je découvre comment ma culpabilité est indiscutable, mais je sais que je ne suis pas coupable.
Un roman noir écrit en parallèle de la série des aventures du commissaire Erlendur Sveinsson.
Mon avis :
Je ne lis pas beaucoup de thriller mais ayant bien apprécié cet auteur la dernière fois que j'ai lu un de ses livres, j'étais plutôt contente de découvrir celui-là.
Comme l'annonce la quatrième de couverture, le personnage principal est incarcéré à cause d'une certaine Betty. Le portrait de Betty, manipulatrice à souhait est particulièrement bien tracé. Tout au long du livre, j'ai très bien imaginé ce personnage, sombre par bien des égards et pourtant si envoûtante. Betty la diabolique, la machiavélique, qui manipule et détruit tout sur son passage.
La trame du roman semble tout d'abord fort simple et facile à comprendre. On se demande quand va arriver l'effet de surprise, se disant qu'il y en a forcément un, que l'histoire serait sinon bien trop simple... et pourtant, on est surpris quand il arrive ! L'auteur parvient bien à mener le lecteur où il veut et c'est réussi!
J'ai lu ce livre d'une traite, me laissant complétement entraîner par la psychologie des personnages. Il y a dans ce livre beaucoup plus de subtilité que je ne l'ai cru au départ. Le côté "policier" du roman n'est pas le plus développé : dés le début, on connaît les grandes lignes de ce qui est arrivé et on ne se pose guère de question sur le meurtre qui envoie le personnage principal en prison. Non, ce qui compte, ce n'est pas tellement ce qu'il s'est passé mais plutôt pourquoi. Pourquoi s'être laissé manipuler à ce point ?
Un roman bien ficelé que j'ai beaucoup aimé !
Extrait :
"C'est curieux comme il est facile de commettre une erreur lorsqu'on n'est au courant de rien. Ce n'est même pas une erreur, tant qu'on ne se rend compte de rien et que c'est beaucoup plus tard que l'on comprend ce qui s'est passé ; tant qu'on ne regarde pas en arrière et qu'on ne voit pas comment ni pourquoi tout cela s'est produit. J'ai commis une erreur. Tomber dans le panneau, une fois encore, voilà ce qui m'est arrivé. Dans certains cas, c'était volontairement. Dans mon for intérieur, je le savais et je savais aussi qu'il y avait danger, mais je ne savais pas tout."
Auteur : Arnaldur Indridason
Titre : Betty
Genre : roman
Langue d’origine : islandais
Traducteur : Patrick Guelpa
Editeur : Metailié
Résumé de l'éditeur :
Dans ma cellule je pense à elle, Betty, si belle, si libre, qui s'avançait vers moi à ce colloque pour me dire son admiration pour ma conférence. Qui aurait pu lui résister ? Ensuite, que s'est-il passé ? Je n'avais pas envie de ce travail, de cette relation. J'aurais dû voir les signaux de danger. J'aurais dû comprendre bien plus tôt ce qui se passait. J'aurais dû... J'aurais dû... J'aurais dû...
Maintenant son mari a été assassiné et c'est moi qu'on accuse. La police ne cherche pas d'autre coupable. Je me remémore toute notre histoire depuis le premier regard et lentement je découvre comment ma culpabilité est indiscutable, mais je sais que je ne suis pas coupable.
Un roman noir écrit en parallèle de la série des aventures du commissaire Erlendur Sveinsson.
Mon avis :
Je ne lis pas beaucoup de thriller mais ayant bien apprécié cet auteur la dernière fois que j'ai lu un de ses livres, j'étais plutôt contente de découvrir celui-là.
Comme l'annonce la quatrième de couverture, le personnage principal est incarcéré à cause d'une certaine Betty. Le portrait de Betty, manipulatrice à souhait est particulièrement bien tracé. Tout au long du livre, j'ai très bien imaginé ce personnage, sombre par bien des égards et pourtant si envoûtante. Betty la diabolique, la machiavélique, qui manipule et détruit tout sur son passage.
La trame du roman semble tout d'abord fort simple et facile à comprendre. On se demande quand va arriver l'effet de surprise, se disant qu'il y en a forcément un, que l'histoire serait sinon bien trop simple... et pourtant, on est surpris quand il arrive ! L'auteur parvient bien à mener le lecteur où il veut et c'est réussi!
J'ai lu ce livre d'une traite, me laissant complétement entraîner par la psychologie des personnages. Il y a dans ce livre beaucoup plus de subtilité que je ne l'ai cru au départ. Le côté "policier" du roman n'est pas le plus développé : dés le début, on connaît les grandes lignes de ce qui est arrivé et on ne se pose guère de question sur le meurtre qui envoie le personnage principal en prison. Non, ce qui compte, ce n'est pas tellement ce qu'il s'est passé mais plutôt pourquoi. Pourquoi s'être laissé manipuler à ce point ?
Un roman bien ficelé que j'ai beaucoup aimé !
Extrait :
"C'est curieux comme il est facile de commettre une erreur lorsqu'on n'est au courant de rien. Ce n'est même pas une erreur, tant qu'on ne se rend compte de rien et que c'est beaucoup plus tard que l'on comprend ce qui s'est passé ; tant qu'on ne regarde pas en arrière et qu'on ne voit pas comment ni pourquoi tout cela s'est produit. J'ai commis une erreur. Tomber dans le panneau, une fois encore, voilà ce qui m'est arrivé. Dans certains cas, c'était volontairement. Dans mon for intérieur, je le savais et je savais aussi qu'il y avait danger, mais je ne savais pas tout."
mercredi 23 mai 2018
Mercredi, c'est le jour des petis - J'apprend à lire avec Sami et Julie
Par Daphné
Résumé :
« J’apprends avec Sami et Julie » est une collection spécialement conçue pour les enfants apprenant à lire. Des histoires courtes, drôles et faciles à lire. Écrites avec des mots en adéquation avec leur progression, une quantité de texte à lire réduite et adaptée, un texte écrit en gros, des mots bien détachés les uns des autres et des lignes bien espacées.
En plus de l’histoire : des conseils pour accompagner l’enfant dans ses premières lectures, la présentation des personnages, des activités pour préparer la lecture, à la fin : « As-tu bien compris l’histoire ? » pour donner du sens à ce que l’enfant a lu et aller plus loin que le simple déchiffrage et « Et toi, qu’en penses-tu ? » des petites questions pour « faire réfléchir » ou simplement discuter autour de l’histoire.
Mon avis :
Il y a quelques temps, je vous parlais des lectures de CP. Je cherchais alors des livres que ma fille de six ans prendrait plaisir à lire seule. Nous avons découvert cette collection un peu par hasard alors que je cherchais une petite surprise à glisser sous son oreiller lorsqu'elle a perdu sa première dent : je suis alors tombée sur La dent de Julie, petit livre qui m'a paru tout à fait adapté à l'occasion! Ma fille a tellement aimé ce petit livre que, depuis,plusieurs autres livres de cette collection ont rejoint notre bibliothèque!
Cette collection est divisée en plusieurs niveaux (début de CP, milieu de CP, fin de CP et CE1). La première page est une préparation à la lecture avec quelques dessins dans lesquels l'enfant est invité à repérer un son, quelques syllabes ou mots à lire tout seul. Vient ensuite une histoire mettant en scène Sami et/ou Julie, deux enfants qui sont en classe de CP et CE1. A la fin du livre, on trouve quelques questions sur l'histoire et sur ce qu'en a pensé l'enfant.
Les histoires sont très proches du quotidien des enfants de six, sept ans. Ainsi, on y retrouve les thèmes d'une dent de lait perdue, de la cueillette des groseilles, d'une journée à la plage ou à la ferme, d'un anniversaire, de l'attente de Noël... Le petit lecteur s'identifie facilement à Sami et Julie qui vivent des choses proches de leur propre quotidien.
Les phrases sont simples et le texte assez court (il s'étoffe au fil des niveaux). Les lettres muettes sont en gris et les liaisons indiquées. Tout cela rend la lecture plus aisée et on peut proposer les livres à l'enfant en fonction des sons qu'il connait déjà et de son niveau de lecture.
Ma fille aime beaucoup ces petits livres qu'elle lit avec plaisir et facilité. Elle apprécie de pouvoir les lire entièrement seule. Pour l'instant, ce sont les livres avec lesquels elle a le plus "accroché" depuis son entrée au CP!
Résumé :
« J’apprends avec Sami et Julie » est une collection spécialement conçue pour les enfants apprenant à lire. Des histoires courtes, drôles et faciles à lire. Écrites avec des mots en adéquation avec leur progression, une quantité de texte à lire réduite et adaptée, un texte écrit en gros, des mots bien détachés les uns des autres et des lignes bien espacées.
En plus de l’histoire : des conseils pour accompagner l’enfant dans ses premières lectures, la présentation des personnages, des activités pour préparer la lecture, à la fin : « As-tu bien compris l’histoire ? » pour donner du sens à ce que l’enfant a lu et aller plus loin que le simple déchiffrage et « Et toi, qu’en penses-tu ? » des petites questions pour « faire réfléchir » ou simplement discuter autour de l’histoire.
Mon avis :
Il y a quelques temps, je vous parlais des lectures de CP. Je cherchais alors des livres que ma fille de six ans prendrait plaisir à lire seule. Nous avons découvert cette collection un peu par hasard alors que je cherchais une petite surprise à glisser sous son oreiller lorsqu'elle a perdu sa première dent : je suis alors tombée sur La dent de Julie, petit livre qui m'a paru tout à fait adapté à l'occasion! Ma fille a tellement aimé ce petit livre que, depuis,plusieurs autres livres de cette collection ont rejoint notre bibliothèque!
Cette collection est divisée en plusieurs niveaux (début de CP, milieu de CP, fin de CP et CE1). La première page est une préparation à la lecture avec quelques dessins dans lesquels l'enfant est invité à repérer un son, quelques syllabes ou mots à lire tout seul. Vient ensuite une histoire mettant en scène Sami et/ou Julie, deux enfants qui sont en classe de CP et CE1. A la fin du livre, on trouve quelques questions sur l'histoire et sur ce qu'en a pensé l'enfant.
Les histoires sont très proches du quotidien des enfants de six, sept ans. Ainsi, on y retrouve les thèmes d'une dent de lait perdue, de la cueillette des groseilles, d'une journée à la plage ou à la ferme, d'un anniversaire, de l'attente de Noël... Le petit lecteur s'identifie facilement à Sami et Julie qui vivent des choses proches de leur propre quotidien.
Les phrases sont simples et le texte assez court (il s'étoffe au fil des niveaux). Les lettres muettes sont en gris et les liaisons indiquées. Tout cela rend la lecture plus aisée et on peut proposer les livres à l'enfant en fonction des sons qu'il connait déjà et de son niveau de lecture.
Ma fille aime beaucoup ces petits livres qu'elle lit avec plaisir et facilité. Elle apprécie de pouvoir les lire entièrement seule. Pour l'instant, ce sont les livres avec lesquels elle a le plus "accroché" depuis son entrée au CP!
lundi 21 mai 2018
Des enfants tombés du ciel - Dagmar Galin
Par Daphné
Genre : roman
Langue d’origine : français
Editeur : Editions de l'amitié
Nombre de pages : 155
Date de parution : 1983
Résumé de l'éditeur :
Dans les rues de Bogotá, des enfants abandonnés se débrouillent seuls pour subsister. Hector cire des chaussures entre deux petits larcins, Pilar et Bianca tentent en vain de vendre des noix.
Le refuge de l’Assistance publique n’est pas loin pour ces trois enfants qui, six mois tard, sont adoptés par deux familles françaises.
Cette nouvelle vie, loin de leur Colombie natale est-elle une seconde chance ?
Mon avis :
Hector, Pilar et Bianca ont été trouvés seuls dans les rues de Bogotá, en Colombie. Adoptés par des familles françaises, ils doivent s'habituer à une vie totalement différente de celle qu'ils ont toujours connue.
Tiré d'une histoire vraie, ce livre, destiné à un jeune public (à partir de douze ans environ), nous conte l'histoire de trois enfants et de leur adoption. Hector, Pilar et Bianca sont âgés d'environ sept, cinq et trois ans et gardent donc des souvenirs de leur pays d'origine. Comment s'habituer non seulement à une nouvelle famille mais aussi à un nouveau pays, une nouvelle culture ? Tout est si différent en France que l'adaptation ne sera pas facile. Elle ne le sera pas non plus pour les parents qui doivent apprendre à composer avec des enfants ayant déjà leur manière d’être et leur identité propre.
Un livre qui aborde l'adoption avec des mots suffisamment simples mais bien parlants pour un jeune public .
Extrait :
"En fait, Pilar ne supportait plus sa petite sœur. Que fabriquait elle ici? Pourquoi n'était elle pas restée là-bas au pays du poivre? Oubliés, les coins de rues, les huttes aux toits de tôle où Pilar était obligée de travailler, de porter Bianca sur son dos comme une seconde petite mère, de la laver, de la nourrir, de la calmer. Ici, elle devenait gênante. Elle aurait dû se trouver un autre papa et une autre maman. Pas les mêmes. Ce papa là et cette maman là appartenaient à Pilar. Elle les voulait pour elle totue seule, sans les partager avec personne."
Auteur : Dagmar Galin
Titre : Des enfants tombés du cielGenre : roman
Langue d’origine : français
Editeur : Editions de l'amitié
Nombre de pages : 155
Date de parution : 1983
Résumé de l'éditeur :
Dans les rues de Bogotá, des enfants abandonnés se débrouillent seuls pour subsister. Hector cire des chaussures entre deux petits larcins, Pilar et Bianca tentent en vain de vendre des noix.
Le refuge de l’Assistance publique n’est pas loin pour ces trois enfants qui, six mois tard, sont adoptés par deux familles françaises.
Cette nouvelle vie, loin de leur Colombie natale est-elle une seconde chance ?
Mon avis :
Hector, Pilar et Bianca ont été trouvés seuls dans les rues de Bogotá, en Colombie. Adoptés par des familles françaises, ils doivent s'habituer à une vie totalement différente de celle qu'ils ont toujours connue.
Tiré d'une histoire vraie, ce livre, destiné à un jeune public (à partir de douze ans environ), nous conte l'histoire de trois enfants et de leur adoption. Hector, Pilar et Bianca sont âgés d'environ sept, cinq et trois ans et gardent donc des souvenirs de leur pays d'origine. Comment s'habituer non seulement à une nouvelle famille mais aussi à un nouveau pays, une nouvelle culture ? Tout est si différent en France que l'adaptation ne sera pas facile. Elle ne le sera pas non plus pour les parents qui doivent apprendre à composer avec des enfants ayant déjà leur manière d’être et leur identité propre.
Un livre qui aborde l'adoption avec des mots suffisamment simples mais bien parlants pour un jeune public .
Extrait :
"En fait, Pilar ne supportait plus sa petite sœur. Que fabriquait elle ici? Pourquoi n'était elle pas restée là-bas au pays du poivre? Oubliés, les coins de rues, les huttes aux toits de tôle où Pilar était obligée de travailler, de porter Bianca sur son dos comme une seconde petite mère, de la laver, de la nourrir, de la calmer. Ici, elle devenait gênante. Elle aurait dû se trouver un autre papa et une autre maman. Pas les mêmes. Ce papa là et cette maman là appartenaient à Pilar. Elle les voulait pour elle totue seule, sans les partager avec personne."
samedi 19 mai 2018
Un fils parfait - Mathieu Ménegaux
Par Ariane
Auteur :
Thomas Méngeaux
Titre :
Un fils parfait
Genre :
roman
Langue
d’origine : français
Editeur :
Grasset
Nombre de
pages : 240p
Date de
parution : février 2017
Présentation de l’éditeur :
Maxime, enfant unique d’Élise, a tout du fils parfait :
brillantes études et carrière fulgurante ; c’est un mari aimant comme un
père attentionné. Un jour, sa femme Daphné va découvrir la faille dans ce tableau
idyllique. Le conflit est inévitable : il sera sans merci.
Jusqu’où une mère doit-elle aller pour protéger ses filles et faire valoir ses droits, alors que personne n’accepte de la croire ?
Inspiré d’une histoire vraie, Mathieu Ménegaux nous livre ici le récit du combat d’une mère contre la machine judiciaire
Jusqu’où une mère doit-elle aller pour protéger ses filles et faire valoir ses droits, alors que personne n’accepte de la croire ?
Inspiré d’une histoire vraie, Mathieu Ménegaux nous livre ici le récit du combat d’une mère contre la machine judiciaire
Mon avis :
Dans une longue lettre, Daphné s’adresse à Elise, sa
belle-mère. Elle lui raconte la rencontre avec Maxime, son coup de foudre, le
mariage, la naissance de leurs deux filles, la réussite professionnelle,… la
vie rêvée. Jusqu’au coup de tonnerre, lorsque sa fille aîné lui raconte l’inimaginable.
J’avais beaucoup aimé le premier roman de Mathieu Méngeaux,
dans lequel il abordait avec beaucoup d’empathie et de subtilité une situation
difficile. Cette fois encore, il se met dans la peau d’une femme, qui voit elle
aussi sa vie personnelle voler en éclat. Mais je n’ai pas trouvé ce que j’avais
apprécié dans son premier roman. Tout m’a semblé superficiel, les personnages
manquent de profondeur et leurs actes de cohérence.
J’ai lu ce roman rapidement et distraitement, et j’ai bien
peur qu’il ne m’en reste absolument rien dans quelques jours. Pour autant, je
compte bien lire le nouveau roman de Mathieu Ménegaux dont le sujet m’intéresse
et pour lequel les avis sont plus élogieux que pour celui-ci.
Extrait :
« Il s'en fout, Dieu, de nos existences terrestres. Il
nous observe de haut, comme un lion repu qui regarde d'un œil amusé la gazelle
au loin, avant de s'endormir. »
D'autres avis chez
Inscription à :
Articles (Atom)