Auteur :
David Grand
Titre :
Mount terminus
Genre :
roman
Langue
d’origine : anglais (américain)
Traducteur :
Bernard Hœpffner
Editeur :
Seuil
Nombre de
pages : 415p
Date de
parution : janvier 2016
Présentation de l’éditeur :
Mount Terminus : un promontoire rocheux aux confins du
désert mojave en Californie. À son sommet, une villa bâtie aux temps des
conquêtes espagnoles dont les dédales regorgent de mystères. Délimitant la
propriété, d’extraordinaires jardins à la végétation luxuriante. Au-delà, rien.
Une plaine balayée par les vents qui se jette dans l’océan Pacifique.
C’est là, au tout début du XXe siècle, que viennent
s’installer Jacob Rosenbloom et son jeune fils Bloom. Jacob, inventeur de
génie, a conçu pour Thomas Edison le mécanisme du premier projecteur d’images
en mouvement — et le cinéma est né. Pourquoi, malgré la fortune, père et fils
ont-ils dû fuir la côte est ?
Frères maudits, femmes fatales, barons du crime, artistes
visionnaires, businessmen ivres de pouvoir et scientifiques éclairés : autant
de destins qui se croisent dans cette magistrale épopée et qui participent, à
travers l’invention du cinéma, la création de Los Angeles et l’essor
d’Hollywood, de la grandeur et décadence d’une Californie en marche vers son destin.
Mon avis :
David Grand a mis 11 ans à écrire ce roman acclamé par de
nombreux auteurs comme Paul Auster. Malheureusement, je suis complètement
passée à côté et me suis ennuyée pendant ma lecture.
Jacob Rosenbloom s’installe avec son fils Joseph, communément
appelé Bloom, dans une étrange villa bâtie sur un promontoire rocheux. Auprès
de ce père énigmatique, inventeur de génie, Bloom vit en retrait du monde.
Conscient qu’un secret de famille ronge son père, Bloom espère découvrir ce qui
lui est caché. Il faudra plusieurs années pour que l’arrivée d’un frère caché
lève le voile sur la passé familial. Très vite, Bloom s’attache à ce frère
flamboyant et ambitieux, qui construit une cité du cinéma. A la suite de son
frère, Bloom fait son entrée dans ce monde.
Une histoire mêlant secrets de famille et naissance du
cinéma, des personnages originaux et atypiques, tous les ingrédients sont
réunis pour faire un bon roman. Pourtant il m’a manqué quelque chose, un
souffle peut-être, le style ne m’a pas convaincue.
Extrait :
« Tu es béni. Touché par Dieu. Et ceux que Dieu a
touchés sont toujours un peu fous. Toi, Rosenbloom, tu es tout à fait normal
dans ce sens-là. »
Ce n'est pas le genre de roman qui m'attire à priori. Et avec ton avis, c'est réglé !
RépondreSupprimerJ'ai tout de même le sentiment d'être passée à côté de quelque chose.
SupprimerAriane
Comme Aifelle, c'est vite vu !
RépondreSupprimerEt la PAL s'en porte mieux !
SupprimerAriane