Auteur : J.K. Rowling
Titre :
Une place à prendre
Genre :
roman
Langue
d’origine : anglais
Traducteur :
Pierre Demarty
Editeur :
Grasset
Nombre de
pages : 682p
Date de
parution : septembre 2012
Présentation de l’éditeur :
Bienvenue à Pagford, petite bourgade en apparence idyllique.
Un notable meurt. Sa place est à prendre...
Comédie de mœurs, tragédie teintée d’humour noir, satire féroce de nos hypocrisies sociales et intimes, ce premier roman pour adultes révèle sous un jour inattendu un écrivain prodige.
Comédie de mœurs, tragédie teintée d’humour noir, satire féroce de nos hypocrisies sociales et intimes, ce premier roman pour adultes révèle sous un jour inattendu un écrivain prodige.
Mon avis :
J.K. Rowling nous offre ici 682 pages d’ennui mortel. C’est
long, très, très long. J’ai fini par survoler de nombreux passages.
Des personnages ennuyeux, une intrigue ennuyeuse et une
écriture ennuyeuse. Dans la série Harry Potter, l’écriture, si elle n’était pas
exceptionnelle sur le plan littéraire, était pêchue et pleine d’humour. Nulle
trace de dynamisme ni d’humour ici.
L’objectif j’imagine,
était de dresser le portrait d’une petite ville qui pourrait être la notre ou
celle d’à côté. Sauf qu’à force de vouloir être « partout » j’ai eu
le sentiment de n’arriver nulle part (je ne sais pas si c’est très clair !).
De même que les personnages sont censés être représentatifs, chacun doit pouvoir s'y reconnaître. Mais là encore, j'ai trouvé que cela frôlait bien souvent la caricature. Seuls certains d'entre eux, en particulier les adolescents Andrew, Sukhvinder et Krystal sont plutôt intéressants et même attachants dans leur détresse et leur révolte.
Je suis totalement passée à côté de ce livre qui n’a à aucun
moment suscité mon intérêt. Ah si ! Un intérêt à cette lecture tout de
même il me permet de participer à mon challenge un pavé par mois.
Extrait :
« La grande
erreur commise par quatre-vingt-dix pour cent des êtres humains, selon Fats,
était d'avoir honte de ce qu'ils étaient ; de mentir, de vouloir à tout prix
être quelqu’un d'autre. L'honnêteté était la devise de Fats, son arme de choix
et son principal moyen de défense. L'honnêteté faisait peur aux gens ; elle les
choquait. »
Lu dans le cadre du challenge un pavé par mois.
L'avis de Jostein,
Et boum! Rhabillée pour l'hiver la pauvre JK ;-)
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup aimé ce roman, je l'ai trouvé passionnant bien que très sombre... Mais ton billet m'a fait rire, surtout la dernière phrase ^^
Faut voir le bon côté des choses !
SupprimerAriane
Tellement lent, tellement long, tellement ennuyeux que j'ai arrêté en cours de route. Mais où est passé l'auteur d'Harry Potter ?
RépondreSupprimerJ'aurai aussi aimé retrouver l'écriture pleine de peps et d'humour de la série dans un univers totalement différent.
SupprimerJe viens de lire une critique très positive de ce livre. Comme quoi, tous les gouts sont dans la nature.
RépondreSupprimerMoi, je te rejoins tout à fait : ennui mortel ! Quelle longueur et quelle langueur!
J'ai l'impression que beaucoup de lecteurs ont ressenti cet ennui, tandis que d'autres ont adoré !
SupprimerAriane
Aïe ! décidément ce livre divise beaucoup la blogosphère.
RépondreSupprimerC'est le cas effectivement !
SupprimerAriane
Pour une fois, nos avis diffèrent: j'ai beaucoup aimé ce livre!
RépondreSupprimerDaphné
Je me souviens que tu l'avais aimé et je m'attendais à avoir un ressenti similaire, puisqu'en général nous sommes plutôt du même avis. Tant pis !
SupprimerAriane
Je n'ai jamais lu JK Rowling mais je sais déjà que je ne commencerai pas avec ce titre !
RépondreSupprimerIl vaut mieux l'éviter à mon avis.
SupprimerAriane