Auteur :
Agatha Christie
Titre :
Le couteau sur la nuque
Genre :
roman policier
Langue
d’origine : anglais
Editeur :
Editions du masque
Nombre de
pages : 288p
Date de
parution : 1ère parution 1933
Présentation de l’éditeur :
Lady Edgware ne supporte pas la contradiction, surtout
lorsqu'elle vient de son bougre de mari qui l'exaspère et qui refuse de
divorcer ! Ce qui est très ennuyeux, puisque justement Lady Edgware souhaite
épouser quelqu'un d'autre ! Comment faire pour se débarrasser de cet empêcheur
de tourner en rond ? Lady Edgware fait appel à Hercule Poirot, grand
spécialiste des affaires criminelles pour arriver à ses fins. Or celle-ci,
Poirot s'en rend vite compte, aurait tendance à confondre tueur à gages et
détective. Mais peu importe, après tout. Puisque le mari a fini par se
résigner. Il vient d'avoir la bonne idée de mourir. Assassiné. Contrariant,
Lord Edgware ?
Mon avis :
Faire appel à Hercule Poirot pour se débarrasser de son mari !
Quel culot ! Hercule Poirot consent à rendre visite à l’époux pour le
convaincre de divorcer et lorsque le lendemain de leur rencontre celui-ci est
retrouvé mort, tout semble accuser Lady Edgware. Mis à part une chose :
son époux ayant accepté le divorce elle n’avait plus dès lors aucune raison de
vouloir sa mort. Qui alors s’est débarrassé de l’odieux Lord Edgware et fait
porter les soupçons sur son épouse ?
Poirot est ici accompagné de son ami Hastings, qui est à mes
yeux un personnage dans intérêt aux côtés de son ami. L’enquête est fidèle aux
autres romans de l’auteur : intelligente et bien construite, multipliant
les indices et les suspects.
J’apprécie vraiment ces enquêtes où l’intellect et la
logique prévalent, où la violence est absente, ainsi que l’ambiance, les
dialogues et les personnages imaginés par Agatha Christie. C’est toujours un
plaisir.
Et c'est avec ce titre que je clos ma thématique Agatha Christie pour le challenge Petit bac.
Et c'est avec ce titre que je clos ma thématique Agatha Christie pour le challenge Petit bac.
Extrait :
« J’ai remarqué
que lorsque nous travaillons ensemble sur une affaire, Hastings, vous me
pressez toujours de me mettre physiquement en action. Vous voudriez que je
mesure des empreintes de pas, que j’analyse des cendres de cigarette, que je me
mette à plat ventre pour examiner des petits détails. Vous ne comprenez pas qu’en
fermant les yeux, confortablement installé dans un fauteuil, on peut
s’approcher plus près de la solution d’un problème. On voit alors avec les yeux
de l’esprit. »
Lu dans le cadre du challenge Petit bac (thématique Agatha Christie, catégorie objet)
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