Auteur : Alexandre Postel
Titre :
L’ascendant
Genre :
roman
Langue
d’origine : français
Editeur :
Gallimard
Nombre de
pages : 128p
Date de
parution : avril 2015
Présentation de l’éditeur :
Le narrateur, à la demande d’une psychiatre, raconte les
événements qui, en l’espace de cinq jours, ont dévasté sa vie.
Tout commence lorsque ce vendeur de téléphones mobiles apprend le décès de son père, avec lequel il entretenait des rapports très lointains. Afin d’organiser les obsèques, le jeune homme se rend dans la petite ville où vivait le défunt et s’installe dans la maison paternelle. Il fait alors une découverte terrifiante qui le plonge, au fil d’un enchaînement insidieux de faux pas, dans une situation cauchemardesque.
On retrouve ici ce qui faisait la force du premier roman d’Alexandre Postel : une narration implacable et ironique, qui donne au récit la forme d’une tragédie. Le sentiment de culpabilité, au centre du texte, génère une atmosphère trouble et inquiétante : jusqu’à la der- nière ligne, le lecteur hésite entre l’empathie, la révolte et l’effroi.
Tout commence lorsque ce vendeur de téléphones mobiles apprend le décès de son père, avec lequel il entretenait des rapports très lointains. Afin d’organiser les obsèques, le jeune homme se rend dans la petite ville où vivait le défunt et s’installe dans la maison paternelle. Il fait alors une découverte terrifiante qui le plonge, au fil d’un enchaînement insidieux de faux pas, dans une situation cauchemardesque.
On retrouve ici ce qui faisait la force du premier roman d’Alexandre Postel : une narration implacable et ironique, qui donne au récit la forme d’une tragédie. Le sentiment de culpabilité, au centre du texte, génère une atmosphère trouble et inquiétante : jusqu’à la der- nière ligne, le lecteur hésite entre l’empathie, la révolte et l’effroi.
Mon avis :
J’avais été conquise par la plume d’Alexandre Postel avec
son précédent roman. J’ai retrouvé dans celui-ci beaucoup des éléments qui m’avaient
alors plu. Une écriture fluide et sans fioritures, facile et agréable. Un
univers très ordinaire excellemment décrit.
Il y a quelques parallèles entre les héros des deux romans
de Postel. Deux hommes en fin de trentaine, plutôt solitaires, sans amis ni
famille proches. Des hommes assez discrets, des hommes ordinaires qui se
retrouvent du jour au lendemain confrontés à une situation qui n’a rien d’ordinaire.
Ici, suite au décès de son père, le narrateur revient dans
la maison de son père pour organiser les funérailles et tout ce qui doit être
fait dans ces moments là. Il n’a jamais été très proche de son père, ne s’est
jamais vraiment intéressé à cet homme banal et peu bavard. Ce qu’il va
découvrir alors va bouleverser totalement sa vie, ses certitudes et lui faire
perdre tous ses repères.
J’ai été moins emballée par ce roman car je n’ai pas
vraiment compris l’attitude du narrateur. Mais j’ai tout de même apprécié cette
lecture.
Extrait :
« C’était là, je
crois, que je me sentais le plus à l’aise. Ailleurs, où que je me trouve, quoi
que je fasse, mes pensées me ramenaient toujours vers la cave, comme sous
l’effet d’une gravitation mentale. Mais dans la cave, je ne sentais plus
l’attraction de la cave. Dans la cave je n’avais plus besoin de penser. »
D'autres avis chez Clara, Professeur Platypus,
D'autres avis chez Clara, Professeur Platypus,
Son précédent roman m'a tellement plu, que vraiment celui ci m'intéresse.
RépondreSupprimerJ'avais aussi énormément aimé son premier.
SupprimerAriane
Je comprends qu'il vaut mieux découvrir l'auteur avec son précédent livre ...
RépondreSupprimerPeut-être pas. J'avais tellement aimé le précédent que j'attendais beaucoup de celui-ci.
SupprimerAriane
Il m'a bien plu ce roman, malgré qq défauts ! J'ai aimé la narration de cette manipulation père/fils et, même avec quelques indices, j'ai été un peu surprise par la fin, le machiavélisme du père, la spirale infernale..
RépondreSupprimerun roman plutôt pas mal !
http://mesmiscellanees.blogspot.fr/search/label/POSTEL%20Alexandre
C'est vrai qu'il a beaucoup de qualités, c'est une lecture qui m'a plu, mais pas autant que le précédent !
SupprimerAriane