Auteur :
Michel Bussi
Titre :
Maman a tort
Genre :
roman policier
Langue
d’origine : français
Editeur :
presses de la cité
Nombre de
pages : 512p
Date de
parution : mai 2015
Présentation de l’éditeur :
Rien n'est plus éphémère
que la mémoire d'un enfant.
Quand Malone, du haut de ses trois ans et
demi, affirme que sa maman n'est pas sa vraie maman, même si cela semble
impossible, Vasile, psychologue scolaire, le croit.
Il est le seul... Il doit agir vite. Découvrir
la vérité cachée. Trouver de l'aide.
Celle de la commandante Marianne Augresse par
exemple.
Car déjà les souvenirs de Malone s'effacent.
Ils ne tiennent plus qu'à un fil, qu'à des
bouts de souvenirs, qu'aux conversations qu'il entretient avec Gouti, sa
peluche.
Le compte à rebours a commencé.
Avant que tout bascule. Que l'engrenage se
déclenche. Que les masques tombent.
Mon avis :
Plusieurs bonnes critiques sur ce roman m’ont incitée à
découvrir le nouveau roman de Michel Bussi. De cet auteur j’avais déjà lu Un
avion sans elle. J’avais trouvé ce livre bien construit mais sans grand
intérêt. J’espérais mieux de celui-ci.
Mais j’ai trouvé à ce roman les mêmes qualités et les mêmes
défauts. L’intrigue est bien menée, il y a un bon rythme, toutefois l’ensemble
manque de cohérence, je n’ai pas trouvé que les pièces du puzzle s’emboîtaient
parfaitement. Et puis on devine assez rapidement le fin mot de l’histoire. C’est tout
de même une lecture agréable et qui permet de passer un bon moment.
Le charme particulier de ce roman pour moi a été de me
promener dans la ville et la région où je suis née et ai grandi. Je suis née
dans le petit village de Manéglise où vit le petit Malone et j’ai fréquenté la
même école que lui, je connais les quartiers du Havre décrits car j’y ai
de la famille et clin d’œil supplémentaire, ma meilleure amie vit actuellement
dans l’endroit cité à la fin du livre.
Un roman parfait pour une lecture sans prise de tête sur la
plage.
Extrait :
« Qu'il n'oublie
jamais le goût des belles choses. Seules les mères peuvent apporter cela aux
petits hommes : la sensibilité. S'ils suivaient les pas de leurs pères, les
idéalisaient, le foot, les bagnoles et la perceuse, ils étaient foutus, ils
deviendraient aussi cons qu'eux. Des générations de cons! Seules les mères pouvaient
tenter de freiner la malédiction. »
Lu dans le cadre du challenge un pavé par mois
L'avis de Bianca
Je me suis arrêtée aux "nymphéas noirs", le seul lu. J'ai bien compris que les suivants n'étaient pas de meilleure qualité.
RépondreSupprimerLes avis étaient meilleurs sur celui-ci. Du coup je ne suis pas sûre de poursuivre avec cet auteur.
SupprimerAriane
Ah quel dommage ! Moi qui voulait continuer ma découverte de l'auteur avec ce roman. Je me rabattrai sans doute vers un autre.
RépondreSupprimerIl y a beaucoup d'avis plus positifs que le mien. S'il te tente ne t'arrête pas à mon avis.
SupprimerAriane
Ça me fait penser que je n'ai pas encore lu le premier! Bouh! Pas assez de temps!
RépondreSupprimerBon dimanche.
Il y a tellement d'auteurs qu'il est impossible de tous les découvrir. Mais désormais je pense faire l'impasse sur celui-ci.
SupprimerAriane
Dommage, j'aimais bien l'idée de départ. Mais vu ton avis, je ne pense pas que j'accrocherais, avec ce titre ou l'auteur plus généralement.
RépondreSupprimerCe n'est pas un auteur que je recommanderai.
SupprimerAriane