vendredi 24 juillet 2015

Maman a tort - Michel Bussi

Par Ariane


Auteur : Michel Bussi

Titre : Maman a tort

Genre : roman policier

Langue d’origine : français

Editeur : presses de la cité

Nombre de pages : 512p

Date de parution : mai 2015

Présentation de l’éditeur :

Rien n'est plus éphémère que la mémoire d'un enfant. Quand Malone, du haut de ses trois ans et demi, affirme que sa maman n'est pas sa vraie maman, même si cela semble impossible, Vasile, psychologue scolaire, le croit. Il est le seul... Il doit agir vite. Découvrir la vérité cachée. Trouver de l'aide. Celle de la commandante Marianne Augresse par exemple. Car déjà les souvenirs de Malone s'effacent. Ils ne tiennent plus qu'à un fil, qu'à des bouts de souvenirs, qu'aux conversations qu'il entretient avec Gouti, sa peluche. Le compte à rebours a commencé. Avant que tout bascule. Que l'engrenage se déclenche. Que les masques tombent.



Mon avis :

Plusieurs bonnes critiques sur ce roman m’ont incitée à découvrir le nouveau roman de Michel Bussi. De cet auteur j’avais déjà lu Un avion sans elle. J’avais trouvé ce livre bien construit mais sans grand intérêt. J’espérais mieux de celui-ci.

Mais j’ai trouvé à ce roman les mêmes qualités et les mêmes défauts. L’intrigue est bien menée, il y a un bon rythme, toutefois l’ensemble manque de cohérence, je n’ai pas trouvé que les pièces du puzzle s’emboîtaient parfaitement. Et puis on devine assez rapidement le fin mot de l’histoire. C’est tout de même une lecture agréable et qui permet de passer un bon moment.

Le charme particulier de ce roman pour moi a été de me promener dans la ville et la région où je suis née et ai grandi. Je suis née dans le petit village de Manéglise où vit le petit Malone et j’ai fréquenté la même école que lui, je connais les quartiers du Havre décrits car j’y ai de la famille et clin d’œil supplémentaire, ma meilleure amie vit actuellement dans l’endroit cité à la fin du livre.

Un roman parfait pour une lecture sans prise de tête sur la plage.



Extrait :

« Qu'il n'oublie jamais le goût des belles choses. Seules les mères peuvent apporter cela aux petits hommes : la sensibilité. S'ils suivaient les pas de leurs pères, les idéalisaient, le foot, les bagnoles et la perceuse, ils étaient foutus, ils deviendraient aussi cons qu'eux. Des générations de cons! Seules les mères pouvaient tenter de freiner la malédiction. »

Lu dans le cadre du challenge un pavé par mois
 L'avis de Bianca

8 commentaires:

  1. Je me suis arrêtée aux "nymphéas noirs", le seul lu. J'ai bien compris que les suivants n'étaient pas de meilleure qualité.

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    1. Les avis étaient meilleurs sur celui-ci. Du coup je ne suis pas sûre de poursuivre avec cet auteur.
      Ariane

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  2. Ah quel dommage ! Moi qui voulait continuer ma découverte de l'auteur avec ce roman. Je me rabattrai sans doute vers un autre.

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    1. Il y a beaucoup d'avis plus positifs que le mien. S'il te tente ne t'arrête pas à mon avis.
      Ariane

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  3. Ça me fait penser que je n'ai pas encore lu le premier! Bouh! Pas assez de temps!
    Bon dimanche.

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    1. Il y a tellement d'auteurs qu'il est impossible de tous les découvrir. Mais désormais je pense faire l'impasse sur celui-ci.
      Ariane

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  4. Dommage, j'aimais bien l'idée de départ. Mais vu ton avis, je ne pense pas que j'accrocherais, avec ce titre ou l'auteur plus généralement.

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