Auteur :
Peter May
Titre :
Scène de crime virtuelle
Genre :
roman policier
Langue
d’origine : anglais
Editeur :
Rouergue
Nombre de
pages : 336p
Date de
parution : septembre 2013
Présentation de l’éditeur :
Ils avaient choisi d’habiter des îles de rêve, imaginé de
splendides villas pour des vies insouciantes, ils collectionnaient les voitures
de luxe et les grands crus français. Ils ne pensaient pas que le mal viendrait
les chercher là. Rivés à leurs écrans comme à des mirages, ils n’avaient pas
senti la mort à leurs trousses. Ils ont d’abord vu tomber leurs avatars, sans
comprendre que c’en était fini des jeux de rôle. Lorsque le tueur est entré
chez eux, dans la vie réelle, il était trop tard…
Orange County, Californie. Michael Kapinsky a dû reprendre son travail de photographe pour la police scientifique. Sa femme est morte voici quelques mois, il est criblé de dettes. Sur l’ordinateur d’un homme qu’on vient d’exécuter de trois balles, il remarque un curieux logo. Celui d’un univers virtuel où l’on peut échapper à ses soucis, recommencer sous un autre nom, une nouvelle apparence, à tisser des liens. Lorsqu’il se laisse tenter et rejoint, à son tour, les îles idéales, Michael n’imagine pas le piège qui se referme sur lui. Car ce monde parallèle n’est qu’un miroir. On y retrouve jusqu’à ses pires cauchemars et lorsque l’enfer s’ouvre sous vos pieds, pas question d’y échapper…
Orange County, Californie. Michael Kapinsky a dû reprendre son travail de photographe pour la police scientifique. Sa femme est morte voici quelques mois, il est criblé de dettes. Sur l’ordinateur d’un homme qu’on vient d’exécuter de trois balles, il remarque un curieux logo. Celui d’un univers virtuel où l’on peut échapper à ses soucis, recommencer sous un autre nom, une nouvelle apparence, à tisser des liens. Lorsqu’il se laisse tenter et rejoint, à son tour, les îles idéales, Michael n’imagine pas le piège qui se referme sur lui. Car ce monde parallèle n’est qu’un miroir. On y retrouve jusqu’à ses pires cauchemars et lorsque l’enfer s’ouvre sous vos pieds, pas question d’y échapper…
Mon avis :
Il y a peu, je découvrais Peter May avec L’île des chasseurs
d’oiseaux, premier volume de sa trilogie écossaise. Magnifique lecture ! J’avais
hâte de lire la suite, mais il me faut encore attendre le retour de ces deux
tomes à la bibliothèque. Je me suis rabattue sur le seul ouvrage de l’auteur
encore disponible sur les rayonnages, certaine de passer à nouveau un excellent
moment de lecture. Déception !
Bien loin des îles écossaises, Peter May nous entraîne cette
fois à Los Angeles, aux côtés d’un flic endeuillé et criblé de dettes. Sur les
conseils de sa psychiatre, il s’inscrit à Second Life un univers virtuel et se
prend vite au jeu. Mais le virtuel rejoint la réalité, lorsque des personnes
sont assassinées comme leurs avatars dans le jeu.
Difficile d’imaginer un univers plus éloigné de celui de ma
précédente lecture ! Je n’ai adhéré ni à l’histoire, ni aux personnages,
ni au contexte, ni à l’intrigue. Bref, à rien du tout. J’ai rapidement jeté l’éponge
et je vais attendre bien sagement le retour à la bibliothèque des autres tomes
de la triologie écossaise.
Je n'ai rien lu de l'auteur depuis la trilogie écossaise. J'ai peur justement de la déception.
RépondreSupprimerAlors n'essaye même pas celui-là !
SupprimerJe reste sur ma bonne impression de sa trilogie, alors.
RépondreSupprimerIl y a peut-être d'autres titres intéressants à découvrir
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