Auteur :
Craig Johnson
Titre :
Dry bones
Genre :
roman policier
Langue
d’origine : anglais (américain)
Traductrice :
Sophie Aslanides
Editeur :
Gallmeister
Nombre de
pages : 352p
Date de
parution : octobre 2019
Présentation de l’éditeur :
La découverte d’un énorme T.rex parfaitement conservé est
une excellente surprise pour le comté d’Absaroka. En revanche, la découverte
du corps du rancher cheyenne Danny Lone Elk, propriétaire des terres où
gît le dinosaure, est une
sacrée mauvaise nouvelle pour le shérif du coin, Walt Longmire. D’autant que
les ossements du monstre préféré d’Hollywood sont estimés à des millions
de dollars, ce qui crée bien des complications juridiques. Lorsque le FBI s’en
mêle, Walt a peu de temps pour découvrir à qui profite la mort de Danny. Il
fait donc appel à ses fidèles amis, le vieux shérif Lucian Connally et
l’infatigable Indien Henry Standing Bear, et se lance dans une poursuite
périlleuse et imprévisible.
Mon avis :
L’inconvénient avec les séries, c’est que je finis souvent
pas me lasser. L’impression que l’auteur et les personnages tournent en rond,
que les histoires se répètent. Bref je m’ennuie. Mais pas avec Craig Johnson et
son sheriff Longmire !
Impossible de se lasser de Walt ou d’Henry. Ces deux-là
forment un duo qui fonctionne à merveille. Même si certains sont peu présents,
les autres personnages secondaires que l’on connaît bien (Vic, Ruby,
Saizarbitoria, Double Tough, Lucian) ont une vraie personnalité. Parmi ceux-ci
c’est tout de même à la fille de Walt, Cady, que j’ai du mal à m’attacher. Mais
au vu du développement de son histoire personnelle dans ce tome, j’imagine
qu’elle sera plus présente dans les prochains romans de la série.
Bon, j’ai envie de revenir sur un point particulier, mais
j’espère ne pas trop en dire ! J’ai du mal à comprendre l’attitude de Walt
suite à un événement particulier. Je ne m’explique pas que confronté à une
telle situation, il soit resté chez lui et ait continué son enquête comme si de
rien n’était. Là encore, j’imagine que le prochain tome développera cet
évènement et que cette fois il y aura réaction.
Ceci mis à part, Craig Johnson nous propose encore une fois,
une histoire passionnante, mêlant habilement intrigue policière et récit
naturaliste. Se faisant, il ne manque de mettre en avant la richesse de la spiritualité
indienne, y compris au travers des visions de Walt. C’est toujours plaisant à
lire, bourré d’humour et intelligent. Un vrai bonheur !
Extrait :
« - Ta petite-fille a cinq mois. Il lui faut un nom.
Je fis la grimace que je faisais toujours quand on me rappelait que ma petite-fille avait reçut le nom d'un cabriolet Thunderbird de 1959.
- Elle a un nom. Au cas où tu aurais oublié, il lui vient de ta satané voiture.
- Je voulais dire un vrai nom »
Je fis la grimace que je faisais toujours quand on me rappelait que ma petite-fille avait reçut le nom d'un cabriolet Thunderbird de 1959.
- Elle a un nom. Au cas où tu aurais oublié, il lui vient de ta satané voiture.
- Je voulais dire un vrai nom »
J'attends la bibli, sur ce coup là...
RépondreSupprimerJ'ai de la chance la bibliothécaire est très réactive !
SupprimerIl faudrait déjà que je reprenne la série dans l'ordre. Je n'en ai lu que trois.
RépondreSupprimerLongmire est devenu incontournable pour moi !
SupprimerIl faudrait peut-être que je m'y mette à cette série que tout le monde semble tant apprécier.
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