Auteur :
Julia Deck
Titre :
Propriété privée
Genre :
roman
Langue
d’origine : français
Editeur :
Les éditions de minuit
Nombre de
pages : 176p
Date de
parution : août 2019
Présentation de l’éditeur :
Il était temps de devenir propriétaires. Soucieux de notre
empreinte environnementale, nous voulions une construction peu énergivore,
bâtie en matériaux durables. Aux confins de la ville se tramaient des écoquartiers.
Notre choix s'est porté sur une petite commune en plein essor. Nous étions sûrs
de réaliser un bon investissement.
Plusieurs mois avant de déménager, nous avons mesuré nos meubles, découpé des bouts de papier pour les représenter à l'échelle. Sur la table de la cuisine, nous déroulions les plans des architectes, et nous jouions à déplacer la bibliothèque, le canapé, à la recherche des emplacements les plus astucieux. Nous étions impatients de vivre enfin chez nous.
Et peut-être aurions-nous réalisé notre rêve si, une semaine après notre installation, les Lecoq n'avaient emménagé de l'autre côté du mur.
Plusieurs mois avant de déménager, nous avons mesuré nos meubles, découpé des bouts de papier pour les représenter à l'échelle. Sur la table de la cuisine, nous déroulions les plans des architectes, et nous jouions à déplacer la bibliothèque, le canapé, à la recherche des emplacements les plus astucieux. Nous étions impatients de vivre enfin chez nous.
Et peut-être aurions-nous réalisé notre rêve si, une semaine après notre installation, les Lecoq n'avaient emménagé de l'autre côté du mur.
Mon avis :
Rentrée littéraire encore avec ce court roman de Julia Deck
que l’on pourrait résumer avec la célèbre citation de Sartre : « l’enfer,
c’est les autres ! »
Après toute une vie passée à Paris, un couple décide de
sauter le pas en devenant propriétaire. Leur rêve ils le trouvent en proche
banlieue, un éco-quartier qui sort de terre pour attirer les parisiens désireux
d’un peu d’espace et de verdure. Mais le rêve s’écroule vite, la vitrine
écologique montre ses failles et les relations de voisinage sont tendues, en
particulier avec les Lecoq qui habitent la maison mitoyenne.
Autant le dire tout de suite, je n’ai pas accroché. Déjà,
commencer avec le massacre d’un chat pour moi, grande amie des chats, c’était
mal parti. Je n’ai pas non plus accroché au style de narration (le « je »
et le « tu », la narratrice s’adressant à son mari). J’ai également
trouvé les personnages trop caricaturaux, manquant d’épaisseur, ennuyeux la
plupart du temps.
J’imaginais une comédie de mœurs grinçante, je n’ai trouvé
que l’ennui.
Bon, tu ne donnes pas très envie là ! mais il y a tellement d'autres romans qui nous attendent ..
RépondreSupprimerÔ oui, la liste est longue des livres à découvrir !
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