Auteur :
Jean-Luc Coatalem
Titre :
Le dernier roi d’Angkor
Genre :
roman
Langue
d’origine : français
Editeur :
Grasset
Nombre de
pages : 608297p
Date de
parution : mars 2010
Quel est ce garçon asiatique surnommé Bouk et qui, le dimanche à la maison Boissier, apparaît comme par enchantement dans cette paisible famille française ? Un prince déchu, un parent caché ou, tout simplement, un orphelin arraché au Cambodge en guerre ?
Une amitié se noue alors entre lui et le narrateur, dans un sentiment tissé de fascination, de trouble et de crainte. D'autant que Bouk sait entretenir son mystère et qu'un silence prudent l'entoure. La famille ne compte-t-elle pas aussi quelques anciens coloniaux rentrés d'Indochine? Enfin, le garçon disparaît brusquement et, selon la légende, s'en retourne à Angkor pour se cacher.
Des années plus tard, au terme d'une crise personnelle, le narrateur part à sa recherche, en France et au Cambodge. Que reste-t-il de ces années heureuses qui passèrent comme un songe et dont la grande maison Boissier, à Viroflay, fut le théâtre? Que pèse la trace d'un enfant devant les ruines majestueuses des empires khmers? Quel était surtout son secret à jamais perdu ?
Avec ce roman ému, écrit à vif, Jean-Luc Coatalem, dont on sait la passion pour l'Asie, signe son ouvrage le plus intime. Un voyage au loin qui se double d'un voyage au fond de soi.
Mon avis :
A travers la quête de ce jeune cambodgien qui durant deux années a partagé les réunions familiales, Lucas le narrateur part en quête de lui-même et du sens de la vie. Ces thèmes en plus de l’évocation des fabuleux temples d’Angkor, ce roman de Jean-Luc Coatalem me semblait très prometteur. Je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé, c’est plutôt bien écrit, l’histoire est plaisante mais… la sauce ne prend pas.
Pourtant, j’ai l’impression d’être passée à côté de quelque
chose. Après tout, j’ai lu quantité d’avis plutôt positifs sur ce livre et du
coup j’ai un peu l’impression d’en rendez-vous manqué. C’est assez étrange de
ne pas apprécier un livre (ou un film ou n’importe quoi) qui suscite en général
des critiques positives. Je me suis même demandé si c’était la peine d’écrire
ce billet tant je n’ai pas grand-chose à dire sur ce livre.
Extrait :
Du coup il m’a également été assez difficile de sélectionner un extrait, car aucun passage ne m’a vraiment marquée.
"Chaque fois que j'entendrais parler de l'Asie, il me paraîtrait me réveiller, toucher une part de rêve plus réelle que la réalité, des ailleurs qui m’appartiendraient."
Extrait :
Du coup il m’a également été assez difficile de sélectionner un extrait, car aucun passage ne m’a vraiment marquée.
"Chaque fois que j'entendrais parler de l'Asie, il me paraîtrait me réveiller, toucher une part de rêve plus réelle que la réalité, des ailleurs qui m’appartiendraient."
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